Sciences et Avenir remarque dans un court article sur le paludisme que « de nombreuses plantes odoriférantes sont utilisées pour tenir les moustiques à distance ».
Le magazine note ainsi qu'« une étude ethnobotanique [publiée dans Malaria Journal] conduite dans une centaine de villages de la région du Kilimandjaro (Tanzanie) montre que les répulsifs les plus largement utilisés sont Ocimum kilimandscharicum ou basilic camphré et Ocimum
suave ou basilic au clou de girofle ». Le mensuel indique que « grâce à l'utilisation de ces extraits, la protection vis-à-vis des piqûres de certains anophèles vecteurs de paludisme serait réduite pour 83 à 91% des cas, et la succion inhibée pour 71 à 92% des cas ».
Le magazine note ainsi qu'« une étude ethnobotanique [publiée dans Malaria Journal] conduite dans une centaine de villages de la région du Kilimandjaro (Tanzanie) montre que les répulsifs les plus largement utilisés sont Ocimum kilimandscharicum ou basilic camphré et Ocimum
suave ou basilic au clou de girofle ». Le mensuel indique que « grâce à l'utilisation de ces extraits, la protection vis-à-vis des piqûres de certains anophèles vecteurs de paludisme serait réduite pour 83 à 91% des cas, et la succion inhibée pour 71 à 92% des cas ».
A tenter.
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